On a raison de voir le sexe comme un sport. Ça fait transpirer et c’est bon pour la santé. Mais on a tort d’y chercher la performance. Deux jumelles que j’ai depuis quelques temps au cabinet l’ont appris à leurs dépens. Je vais vous raconter ça en exclusivité, mes petites canailles assoiffées de polissonneries !
Ces jumelles sont deux laiderons, qui d’échec sentimental en échec sentimental, en sont venues à se dire que pour glaner un soupçon d’affection elles n’avaient d’autres recours que de se montrer salopes à l’extrême. Et leur mal-être est d’autant profond que ça les éloigne de leur aspiration réelle : rencontrer des princes charmants ! Alors comme elles doivent retrouver une bonne image d’elles-mêmes en même temps qu’effectivement perdre au bas mot 40 kilos, je leur ai conseillé de faire du sport.
Elles joggaient donc autour d’un stade où s’entraînaient également deux marcheurs athlétiques. Ils portaient des dossards, le n°238 et le n°154. L’air de rien, ce sont les espoirs Français du 50 km marche. Des machines. Bien que eux marchaient et que mes jumelles courraient, ils faisaient dix tours quand elles en bavaient pour en boucler un. Il faut dire qu’ils étaient énervés. Ils sortaient du club d’athlétisme où l’on s’était encore permis de sous-entendre qu’ils sont homosexuels. Tout cela à cause du roulement que la marche rapide imprime à leurs fessiers. Ce fameux déhanché qui fait des marcheurs athlétiques la risée des routes de campagne. Des Dieux grecs si l’on veut, mais dans le sens homo de la comparaison. Et comble du malentendu, leur sponsor (un industriel du poisson pané), les incitait à faire leur coming-out pour faire reculer l’homophobie dans le sport !
– Mais on n’est pas gays, bordel de merde ! C’est rien que des clichés !
Les idées venant souvent en marchant, ils se dirent que le meilleur moyen de leur clouer le bec à tous serait d’arriver avec des filles à leurs bras à la réception que donnait justement leur sponsor le soir-même… C’est là qu’ils remarquèrent les jumelles, obstacle sur la piste qu’ils franchissaient jusque-là sans s’en soucier.
– Feraient-elles l’affaire ?
– Ma foi, je n’en sais rien…
Les jumelles durent penser que le sport donnait déjà des résultats. Trop contentes d’être accostées elles ne se méfièrent pas. En moins d’un tour de stade deux couples s’étaient formés et flirtaient goulument comme des collégiens malhabiles ; les marcheurs espéraient être vus galochant à qui mieux-mieux, mais il n’y avait personne.
Chauffées à blanc, les jumelles prirent les choses en main et entraînèrent leurs cavaliers vers un petit cabanon où était entreposé du matériel sportif. Là-dedans, les marcheurs n’allaient pas couper à un rapport sexuel intégral. Ils y allaient à la fois en fanfaronnant et à reculons.
– N’est-ce pas que nous ne sommes pas homosexuels ? dit le dossard 238.
– Ahah ! Quelle idée saugrenue, répondit le 154. Ne vient-on pas de se lever deux belles pouliches ?
Les jumelles gloussaient.
Toujours dans l’espoir qu’on les surprenne, les marcheurs ne poussèrent pas le verrou. Les jumelles, complexées, ne leur présentèrent que leurs croupes tigrées de vergetures en baissant leurs joggings. Le haut du corps enfoui dans un fatras de plots, cerceaux, haies, javelots, ballons, elles attendaient la monte. Eux y allaient plus piano. En retirant leurs shorts ils s’aperçurent d’un point commun, tous deux portant des « minimums », c’est-à-dire des slips où le service trois pièces est moulé dans un petit hamac de tissu, relié aux fesses par une fine lanière.
– Tiens, toi aussi tu mets des minimums ?
– Oui c’est mieux c’est plus… aérodynamique.
Ils chaussèrent avec difficulté les préservatifs que leur tendaient à l’aveuglette mes jumelles, puis s’insinuèrent mollement, chacun dans la sienne.
– Hummm… que c’est bon. C’est tellement bon que je sens que je vais jouir avant toi, dit le n°154 au 238.
– A ta place je n’en serais pas si certain, je prends un tel pied…
– Me mettrais-tu au défi ?
Ils avaient trouvé un intérêt à la saillie. Une course à qui éjaculera le premier s’engagea. Le fait de chevaucher des jumelles les mettait sur un pied d’égalité. Leur esprit de compétition s’était éveillé et les marcheurs se mirent à piner en respirant et en tortillant du fion comme lorsqu’ils s’adonnent à leur sport. Ils coïtaient de conserve et sportivement s’encourageaient parfois l’un l’autre d’une petite tape sur les fesses, fesses dont ils ne purent bientôt plus détacher le regard, au détriment de celles des jumelles, qu’ils prenaient pourtant en levrette… Cette vision de leurs culs musclés d’hommes nus faisait qu’à présent ils bandaient très dur, pour le plus grand plaisir de mes jumelles, qui ignoraient qu’elles n’étaient pas l’objet de cet enthousiasme. Et peut-être parce qu’ils sont plus habitués à l’endurance qu’au sprint, ça durait. La sueur leur tombait à grosses gouttes de la nuque jusqu’à la raie des fesses. Quant aux jumelles, elles n’avaient plus un poil pubien de sec !
Pour ne pas débander, le regard de chaque marcheur ne devait pas quitter le roulis des fesses de l’autre. On peut faire le même distinguo entre une pénétration normale et leur façon de faire, qu’entre la course à pied et la marche rapide : leurs queues ne sortaient quasiment pas des jumelles, comme les pieds d’un marcheur olympique ne doivent pas décoller du sol. Tout est dans le déhanché. J’imagine combien se faire tisonner comme ça à feu doux doit rendre folle !
L’épreuve s’éternisait quand enfin, l’un d’eux jouit, celui qui portait le dossard 238. Il retira en criant de joie sa capote lestée d’un peu de sperme et la souleva comme une coupe. Le vaincu se retira et s’arracha la capote vide qu’il jeta rageusement sur les grosses fesses celluliteuses de sa jumelle, comme un tennisman sa raquette pour montrer qu’il jette l’éponge. Il félicita le vainqueur, lequel le consola (-J’ai vu tu as perdu du temps au début, le lièvre et la tortue, tu connais ?). Ils se donnèrent une franche poignée de main qui les rapprocha ; de l’autre ils se donnèrent l’accolade, et vite elle descendit et caressa les fesses tant reluquées… Le sexe du 238, ramolli d’avoir joui, s’enroula autour de celui, raide, du 154…
Étourdies par le 50 km bite qu’elles venaient de se manger, les jumelles n’en demeuraient pas moins de plus en plus interloquées ; le gros french kiss qu’elles virent leurs cavaliers se rouler finit par changer leur étonnement en grimace éplorée. Puis tout à coup, la porte du cabanon s’ouvrit, pleine lumière… c’était le sponsor qui faisait visiter les installations à un journaliste !
Certes, mes jumelles ce jour-là ont fait une terrible embardée sur le chemin qui mène à l’estime de soi. Mais elles ont permis à ces deux athlètes de laisser enfin éclater leur homosexualité. On ne peut pas sauver tout le monde !
le sac,est pris.alveolaire ,inviolable,glissant.tu cherche la fermeture,le sac spermatique,fait bouillonné des nerfs.la boule se durci,l’entrejambe se delibére, s’assigne,attend ,une coureuse ,un ecartement,un abandon,le coursier a la lampe desirante se
séche les yeux,cherche le mouillant.les têtes de bouillons ,les trous potentielle.ses main se parsément de desert,classe,rectifie,cueille,fouille.le bouffie,le phalus de tire ,le lardon rougissant,les masque de l’illusion coitale.ca te congele le desir.de masse de honte.t’aspire dans la fente,les trou noir sont legion,tu bouche a la mediocre,la syncope te prend ,t’emporte,t exile.toujours par devant.ca se ramollit,s’ebreche d’angoisse,un poil se leve seul,vierge. d’allure commun, non de vitesse en point de caresse,sans liant ,il rutile d’impuissance.le goute a goute par en jet continue,desapareillé du lancement,en alerte de la retombé.ou…dans la croupe fendu du pont allant meteorisé le vent,par bourrasque.il arrive.t’embarque…par derriere,la passe,le fleuve,la fecalité se pousse,te repousse,te sent.te touche en te sodomisant,ton errance eclate.tu joue la duperie,en ajoute sur le goulé d’illusion.le mandrin continu il remonte dans la poche,s’emerveille de la masse noire,seche.ca passe pas,ca passe plus.le trou est rebouché,les yeux fermé.tu appui sur une touche.l’inspiration se bloc,la lucarne te devisage,ta main avance,descent,passif.tu le frole,l’erige,en boulet de misere,il commence a se durcir,en aparence,le flasque t’incinére,tu pue le mortifére,enduit de foutre semblable a la collante,les rivet d’especes,les vicieux sanguinaire,ecaille de missive eperdue,chantre de ta bestialité,tension deposé en surface collante,en precipité de salé lucide.extra,goute ,ton errance,elle te pli dans le bourrage de la beance,l’etre,un doigts dans l’anus t’aurai plongé un peu plus dans l’oralité noirs..au lieu de ca tu a emmasculé le neant,poudré l’inconfort,joue la paluche vitreuse…cours ,cours…il te rattrape toujours,et te tamponne a te faire avalé le receptacle,le residu de ta negation.l’etre pus,s’annalise,te chope le chibre ,te le vilipende.reste bien sujet,il te fourvoie de stuc,de tic,de signaux virale,te pulse le dard,ejecte le libre.t’aile ton bout filandreux,ta mastication de pucelle ,coincé du derrier…ouvre,retourne ta tête le la si deroule.l’homme a decide de chier,de faire coulé l’etre.mange,l’humus de ce noirs ether…a son bout la vie debarrassé des organe machinique,strié de potence…