Sommes-nous seuls dans l’univers ? Une de mes patientes répond non et elle s’y connaît, puisqu’elle a été élue Miss Univers ! De loin la personne la mieux foutue que mon modeste cabinet ait accueillie. Pourtant, vous allez voir que le dossier est lourd.
Une nuit, Miss Univers ne parvenait pas à s’endormir, sur son grand lit. Et selon elle des visiteurs de l’espace seraient en quelques sortes sortis du vibromasseur qu’elle prit en bouche pour tuer le temps. Ou du moins elle fait un lien entre leur présence et son vibromasseur, comme si manipuler cet objet les avait appelés. On voit mal comment sucer un chibre en plastoc peut faire appeau interplanétaire, mais c’est ce qu’elle dit.
C’est vrai aussi que ça fait penser au génie d’Aladin, jailli de la lampe. Or les extraterrestres n’étaient pas dans sa chambre pour exaucer ses souhaits ; quoique…
Ils semblaient se moquer d’elle. Comme si entre eux ils se disaient : c’est ça Miss Univers ? Ah ah ! C’te blague ! N’importe quelle radasse de chez nous est mieux !
Effectivement, malgré ce qu’il y avait écrit sur son écharpe, Miss Univers n’avait aucun gage qu’il n’existait ailleurs dans l’univers une femme plus belle, ou selon d’autres critères, de créatures suscitant plus d’attirance.
Les extraterrestres avaient ôté la couverture. Plus ils examinaient la plastique de Miss Univers, plus leurs têtes de grillons s’animaient de rires humiliants. Cela lui devint insupportable, elle éclata en sanglots en appelant de toutes ses forces son amant, lequel regardait la télé à l’autre bout de la villa.
Quand Gustavo, un grand Noir du Brésil, arriva, les extraterrestres disparurent. Miss Univers était dans tous ses états, ce qu’il prit pour une nouvelle crise existentielle. Car Miss Univers a un lourd secret qu’à ce stade de l’histoire je suis obligée de révéler : c’est un transsexuel ! Gustavo, qui avait été son partenaire lors d’un tableau de danse hawaïenne le soir de l’élection, s’était rendu compte qu’elle est un homme. Depuis il ne la quittait plus pour mener la vie de château, la faisant tacitement chanter. Si ça venait à se savoir en effet, quelle douleur pour elle et quel scandale pour l’institution Miss Univers toute entière !
Gustavo abusait-il également de ce secret pour rentrer dans sa chambre la piner quand il voulait ? C’est en tout cas ce qu’il fit. En guise de réconfort il retourna Miss Univers, lui empoigna son petit paquet qu’il branla comme à l’accoutumée tige et bourses mêlées. Miss Univers expulsa très vite une petite quantité de purée sur le drap. Un crachat de Gustavo lui tomba alors sur la rondelle, en faisant « Clac ! » comme si ça tombait sur du carrelage. Il y défenestra sa terrible matraque, qui faisait au moins dix fois en épaisseur et en longueur le petit appareil génital masculin de Miss Univers. Elle tremblait de peur parce que des aliens venaient de la voir à poil, et ce grand dadais de Gustavo pensait que c’était lui qui la faisait tressaillir !
Tout à sa besogne, il prêta à peine attention à une drôle de langue qui vint subitement lui laper l’anus… Il crut que c’était Salsifis, le chihuahua de Miss Univers, qui s’invitait. Il chercha à le chasser de la main sans se détourner de la sodomie. Il fallut une morsure pour lui faire perdre patience. Il se hâta de jouir pour enfin aller corriger le chien… Miss Univers hurla en voyant que c’était un extraterrestre qu’il coursait !
Tétanisée, le cul encore fumant, Miss-Univers traversa alors comme par magie le plafond de sa chambre, tractée par un rayon lumineux jusqu’à une soucoupe volante qui stationnait 15 mètres au-dessus de sa luxueuse propriété. À l’intérieur, les extraterrestres l’attachèrent à une banquette surélevée comme chez le docteur. Ils l’inspectaient et s’affairaient autour d’elle, cette fois sans se foutre de sa gueule. Tout était très blanc, on voyait mal les contours de la pièce à cause d’une lumière atroce.
Deux extraterrestres lui pétrirent ses magnifiques faux seins et ce fut immédiatement très bon ; leurs langues, râpeuses comme celle de Salsifis sur ses mamelons, la firent triquer dur dans la bouche d’un troisième. La plénitude sexuelle qu’elle ressentit tranchait avec cet intérieur de vaisseau glacial. La pipe était carrément démente. Entre deux éjacs qu’il avalait sans ciller ni que ça déborde, l’extraterrestre ne ressortait même pas l’auriculaire à méat de Miss Univers. Au bout de cinq orgasmes, Miss Univers n’en put plus. La douleur l’emportait trop sur le plaisir. Mais impossible de se dépatouiller et quand après un énième crachin le suceur d’un autre monde y alla encore plus fort, elle tomba dans les pommes.
À son réveil, chez elle, son vibro l’attendait sur la table de chevet. Tout cela n’avait-il été qu’un songe ? Pourtant son oignon était formel, Gustavo était passé par là. Elle se leva avec la gueule de bois pour se mettre de la pommade apaisante dessus, quand elle s’aperçut qu’elle était devenue femme ! Une chatte ! La ravissante petite chatte dont elle rêvait, elle l’avait entre les jambes ! Envolé ce pénis qui s’était trompé d’adresse à sa naissance ! Les extraterrestres l’avaient sexuellement réassignée !
Tout refit sens à ses yeux. Miss Univers, c’était bien elle. Elle alla de ce pas congédier ce profiteur de Gustavo. Mais il était introuvable. Qu’il aille au diable ! Elle ouvrit son dressing, si heureuse de mettre une robe moulante sans avoir à scotcher Popol… et tomba sur le cadavre de Gustavo. Enfermé dedans, avec le chihuahua, mort aussi.
Avouez que c’est chelou cette affaire. Miss Univers aurait bel et bien été enlevée par des extraterrestres. Quant à moi, j’ai, comme souvent les hédonistes, les pieds sur terre. J’avance une explication alternative : le comité de l’élection Miss Univers avait des doutes sur son identité sexuelle. Pour que personne n’apprenne jamais qu’ils ont commis une boulette en élisant un transs, ils ont tout manigancé. Gustavo qui en savait trop a été éliminé. Et avec une mise en scène aussi folle pour maquiller l’opération de changement de sexe, ils s’assurent que Miss Univers elle-même gardera le silence. Elle en a parlé à sa Mère Braguette, mais c’est déjà moi qui lui prescrivais sa pommade pour l’anus.
Je ne sais où se situe la vérité. Quoiqu’il en soit c’est du travail d’orfèvre, on voit pas les soudures, et aujourd’hui la miss est totalement épanouie, c’est tout ce qui compte à mes yeux de thérapeute.
Le père bran lettre, s’astreindre en en découdre avec sa fine goûtelette de foule.il fouilles on oreillons de ciment joint if, trace des lignes de foute. il pense le devant,il pense en bancale le vacillement du phalatique.se lèvera t il de la lapinade, du four roussillant de blé levant, de belette esquissant le derrière de l’être. Le devant écartelé bran le t il pas le non être. s’immiscent le bout tendu des extrémité de pilosité vers l’encastrement du tic stérilité que. Oh. y tu foute à faire,y a de la pensée à ecrabouiller dans le va dans le viens,dans le vier .du vivier d’étang. ou l’alerte côtoie les chardons de cendre éblouissant les devant d’écume. l’oublie de l’être se taisant à l’océan des mat en eau courant sur les cases en diagonales,ecetant les paquebot cannât leur limite de foute en crachats sur leur limite de stase. Celui qui se trouve soda misé par le rien et sur d’errer et d’être pensé par le petit tout de l’époque nullifiant,les goéland d’abîmer. jouant avec leur en creux du temps ,avec leur ne antitétanique comme le sable joue avec le vent,fleurie à l’or bossé du falzard en état de décollement de la braguette d’entrave.decomprimant d’une main de vanille,descendu d’un ciel d’entravextase vers ce lieu innommable. ce lieu insituable à la psyché tiqué, à la psyché déployé à faire du point d’Abyssinie, le point d’ordre de la séance du rythme.ou les petites princesses résonne de candide mesure porcifleuri,le caneton du doute flétri, l’envoyé de salve humide inscrit une couronne de poil bleu.sur les partie caché au non pensé humain à l’essence de leur neantir. lancé en boulet de corps mutant vers un sacrée juteux,éclaboussant de ses voeux,un ecart de voie grimpant en sol,vers le retour éternisé de son neantisé le sacrée est un fil tenue par le derrière. allez y voir à l’anal itération il y a l’être nausées à bon,ou.le bondissent de l’astre de joie.en s y mélangeant la merde est l’or de la vie rendu à sa parole.le.degres zéro de l’écriture n’est pas sa négation mais son renversement.pour débord. à bas bord il est écart s’intercalant dans le foutre de la fournaise des phallistes. jouons du derrière. pas le dessous sodomisont les existent.leur disant leur infini errance à denier leur rien.a chaque époque du verbe la question du rien du néant doit être reposé et c’est à cela que l’on juge les énoncé sur.l’etant l’existence.la circoncription du rien est au.select c est pour cela que.j irai une fois.mes.moyen physique retrouvé.un jeu fou nous attend peut être .Le plus modifié le plus ne antisémite est le plus divinisé.la planche à bestiaux comme continue de produire du.produit consommable pour le nihiliste bien achevé par sa servitude machinisme. il y a un coup de joie,un coup de chance.un courant à faire essaimer tout les moyens sont bon.je séparé juste les os des. vivant.la maille est fine.la nasse sociétale massif.la guerre voilure. la voilure va s’élargir. et les sucettes d’abîmer vont se délecter de nectar divin.ne leur.servant pas la soupière ruineuse de l’époque nihiliste actuelle.faisant disparaître la possibilité d’une île hors de la métaphysique ,d’éclore les phrases irréfutable demain. ne soyez plus des identité risqué la neantité.liberté du je se néantissant à l’or bossé de sa solitude des agrégé, du soliste scindant les liens le rattachant à l’espèce de fripon cloué de chiffre.lancant les chibres à l’assaut du contre fort de l’en creux du.temps orné de l’étincelle coquine de la qu’eux vide.tirant en retrait du feu secret.bisou
sa suinte toujours,dans l’annalité des chats au sexue de mesange arrive de tout part,sa s’empare des trou,les renfourne a l’etalé,non beurré ,bien sec ,bien lu,l’armé des front sexophanique,te laisse pal meme une joueuse de queue protogéne fait tartuffé son assise.allez au massacre de la grotte,c!est pas par la que sa jouit,c’est par la glotte,sa mastique la joie,ca mastique du febricule,ca chauffe dans la gorge.la est la vie.
au sexe de messange arrivant de tout part,pourquoi flairé le cache sexe,le nez se decouvre planté entre les levres,la il donne de son gout,la il prend la mesure de son organe,pourquoi fleuré avec un bout mettez y le carré a l’embout,la tête cruciforme,en etoile de fer ca racle mieux les bord,sur les supremes,la poulette crevera ses yeux de joie.elle demandera la touné des embouts du plat a l’anguleux,du triple a quatriple,centrant en tout sens ,axé en devant ,pliant en devers avec le bout deplié du drapeau d’etoile de neige.la troussieme sa preferé bisous defenestré de la lucarne a foutre de joie