Souvent j’entends des patients me dire que s’ils étaient une femme, ils se toucheraient les seins toute la journée. Je leur réponds que moi si j’étais un homme, je me gratterais les couilles en permanence. Mais il y en a pour qui c’est plus compliqué, l’égalité hommes-femmes. Une de mes patientes par exemple, la petite Joëlle, se posait beaucoup de questions à ce sujet.
Joëlle ne voulait pas être à la garçonne, mais au contraire rester le plus féminine possible en pratiquant son métier d’homme. Je me souviens que quand même elle avait ce manque d’humour typique des féministes pures et dures ; elle l’avait acquis sur le terrain, c’est-à-dire à l’école de plomberie, à force d’y endurer les quolibets phallocrates des autres apprentis.
Toujours est-il qu’elle se présente sûre d’elle au domicile de M. Gérard, son premier client. C’était un vieux beau professeur d’université, à la crinière d’argent. Ceux qui connaissent l’animateur de La Maison France 5 peuvent s’en faire une idée assez juste. Très classe. Il lui ouvrit sans vouloir laisser paraître sa surprise de voir une aussi jolie fausse blondinette, maquillée et parfumée, habillée en plombier, avec la sacoche à outils et tout. Mais il l’était. En amenant Joëlle à la salle de bain, où la réparation était à faire sous la baignoire, il dit d’une voix de crooner :
– Vous êtes fort jeune pour travailler à votre compte. Et dans sa tête jeune voulait dire femme et travailler voulait dire être plombier.
– Dans mon milieu, on commence tôt la vie pro, répondit Joëlle.
Même si elle venait fièrement de revendiquer son appartenance au monde des manuels, elle était secrètement rassurée de se trouver chez un homme visiblement érudit, à en juger par ses manières et l’omniprésence de livres. Car elle savait ces gens plus ouverts aux évolutions de la société que ses pairs.
Quoi qu’il en soit, le moment de prouver qu’elle est une vraie plombier était arrivé. Il s’agissait de déboucher le siphon de la baignoire de Gérard. En gentleman, celui-ci retira la plaque de faïence qui cachait la tuyauterie, pendant que de ses mains soignées Joëlle vérifiait le mécanisme de sa clé anglaise. Or qu’est-ce au fond, qu’un vrai plombier ? C’est quelqu’un que quand il se baisse, on lui voit la raie des fesses. Joëlle avait en elle-même longuement débattu de la question. Laisser sa douce petite raie dépasser du futal comme celle de n’importe quel plombard de la gent masculine, ou bien se ceinturer suffisamment pour qu’elle ne dépasse d’un pouce, comme il convient à son sexe… ? Elle avait tranché pour laisser à sa raie la liberté de se montrer, tellement ce sourire vertical, comme on dit, fait partie intégrante du costume de plombier. Sans ce détail elle se serait sentie moindre, comme la femme vue par Freud à qui il manquera éternellement un pénis. Que la femme plombier ne puisse jamais être l’égale de l’homme plombier car privée de raie apparente, voilà une erreur que la nature ne lui interdisait pas de réparer. Bref, Joëlle était une plombière libérée et en plongeant sous la baignoire, elle sentit son pantalon descendre vertigineusement. Elle décida de ne pas y penser pour se consacrer pleinement à sa tâche.
M. Gérard lui, ne pouvait se détourner de ce cul admirablement fendu par un string rose orné d’un faux diamant. Le tatouage de diablotin sur la chute de rein dont la fourche indiquait la bonne direction, le si charmant grain de beauté là où la fesse a le plus de mordant… M. Gérard se débraguetta malgré lui. Il ne le réalisa que lorsque le fil de bave qui coulait de sa bouche atteignit son gland décoiffé. Ses grands yeux par contre étaient asséchés. Il était statufié.
Le siphon était récalcitrant. Au string de Joëlle se mêlait de la sueur, le faisant s’entortiller et réduire comme peau de chagrin, si bien que les contours bruns de l’anus s’entrevoyaient. Gérard, peut-être parce qu’il enseigne la littérature comparée, se rendit compte que l’anus de Joëlle exprimait les efforts physiques de celle-ci par un mouvement d’ouverture/fermeture. Plus elle s’échinait à déboucher le siphon, plus son propre siphon, si je puis dire, s’élargissait. Gérard le client se sentit comme un maton qui oblige un prisonnier nu à tousser à genoux pour voir s’il ne cache rien dans la soute. Le plus ou moins d’intensité de l’halètement anal, et celle des cris étouffés qu’émettait Joëlle, était comme un aperçu de l’avancée des travaux de débouchement. Alors, quand au prix d’un effort surhumain –masculin dirais-je si j’étais vieux jeu !- le siphon fut libéré, l’anus s’écarquilla pour un court instant en grand et Gérard, c’était plus fort que lui, saisit sa chance.
Avant que l’anus de Joëlle ne reprenne son souffle et qu’elle ne sorte la tête de sous la baignoire, il fonça gaule en avant comme un jouteur qui a vu la faille pour faire tomber l’autre jouteur, sauf que là non, puisqu’il attrapa Joëlle par les hanches en lui écartant le string pour qu’elle ne lui file pas entre les burnes.
Excité comme Gégé l’était, la sodomie, je ne dirais pas non consentie, mais surprise en tout cas, fut endiablée. Il n’y avait presque plus que le cul de la plombière qui dépassait de la baignoire tellement il la bourrinait. Au moment où il lui provoqua un dégât du sperme dans le fondement, Joëlle eut la tête comprimée contre le tas de cheveux qui avait obstrué le siphon. Puis elle s’extirpa de la tuyauterie, au propre comme au figuré, avec comme une moustache. Cela permit à l’atmosphère de se relâcher un peu, puisque l’intraitable Joëlle se dérida en se voyant dans le miroir. Une moustache façon Mario Bros ! Cela lui donna l’idée pour plus tard d’adopter également la salopette du célèbre plombier de jeu vidéo.
Elle déclina l’infusion timidement proposée, et partit en laissant sa facture. Pour lutter contre les inégalités salariales, elle faisait payer très cher son intervention.
Oh ben, à ce prix-là, dut penser M. Gérard…
l’anus turpide tournoi dans l’abime ordonné de la coutoisie visitant le trait gras du bout sirotant son rosé,en trifouillant a l’orée du vers.seul infiniment seul,il devise le traquenard de l’epopée de l’etre.se nicherai t il pas dans les anneaux remontant a la glotte,obscurssi par leon,avec ses pot de fleurs fané,dechantant dans le lumineux immondice de festin doré de boyaux.il regarde ils ne voyent rien du noir,un noir d’immensité,ca leur deferle sur le tetard,ca leur tord les noeuds,comment se depreté de se liquide visqueux allongeant les cent pas,degorgeant des spasmes orales,un remede,la merde.allez y voir,aller vous y couler en brasse de moussaillon.le coeur bien a nue.les echardes ne manque pas en ce monde pour river l’elu a la parole seche,la parole est vive jouissance,les suceurs d’abimes travaille,specule,discours,amasse du savoir a ne plus en foutre dans le tout,ca mime l’amas de pelleteuses enchevetré dans le connu ferraillant son ego.le savoir ne trouve pas le rien.il est filou,il n’existe et pourtant la déité lui doit la cité doré d’un monde peut etre un nouveau,qui n’en ferai pas une chose nié,mais l’operatif de la liberté.ca le docteur en sexophagite le recusse a pleine bourse,ca va pas desemplir le compte du mac,la pomme ne tombe plus,le tout arrette sa chute.alors ca veut y penser au rien.des mots aux penses il n’y a qu’un pas disait l’autreaurore,en pourlechant les pourceau accroché au grand tout exterieurs.une satyre inhumaine,il va nous siccionné la petite rondelle,nous marbrer nos corticale d’ecrevisse.il brouillonne,il baffe de la gaine a foutre,il pulse dans le vain,le caveau n’est plus loin.parait il il a passé la mort.alors la c est laid affreusement irremediable.parait il que c’est le chemin du geni enfin du petit j espere,l’egotage aune limite de poudre de mandragore.ON ne lui la fait pas a leon sinôn il ecrete,il lamine,il normalise,il chachetoune.l’ennui avale leON.le rencard il le rate,il la pas chatré bizarre,il a echappé a la castratine de masse.pourtant il a bien du passe.il etait peut etre neant eux c’est les impossible.il n’existe rien a enfourner dans la bouteille a mouches .ho ce rien faudrai y planter de la puce une fois pour tout que ca les rive qu’au tout il s’accroche en drame ou moins il sont admissible il bosse dur eux il s y accroche au bien le malin aussi s y accroche ca fait un bonne bouillie larvaire.une bonnasse bien calme et les denré fistaux reste bien plaqué au egotiques.qui ON de la chance une chance de rivage la verge en berne
la petite marinade de poisson se baisse vers le cloaque a erruption,de la belle,de la fardé de la belle raie manta,du mollusque a double erection,de la farenbole d’alvin fretillant a la tombe des chenes devant ces amas humains de relent nauséeux, en decomposition ca vie a l’envers dans le ressac du saut.la sortie les congestionnent,ils ont de la bosse dur,bien tombante ,la palombier tir a blanc dans les coup d’ailles ,elle se taille de marmots cloitré dans le non etre de la surveillance,de la lucarne a echec.ils sont tranquille la mort leur parle,les envoute.la fin il n’ont que ce mots a la bouche,ca les egoutttes un peu du pus du boulot grandissant,s’evanouissant sous les futaie d’aubepine.a la pine ca fait la belle sa maquille la chatoune de glose ,ca fait la poire,se titile le cervelé .mais sa prend pas ni devant ni derrier trop occupé a se balotté dans le vivier sterile du non etre.le desir est plein de neant,rempli de morsurre de crane jaune.l’envie le congedie dans le lointain,c’est un precoce,un prepuce de kermess ajournée .la ,elle n’en peut plus il faut que ca lui rentre il faut de la friction ,du haut du col uterin sa beugle de desir .comment la satifactiôn est.court,obstiné du tic et ca fait que retombé dans le besoingneux frustrique .elle veut s’enfourche.elle veut du derriere bien plombé bien tambouriné,avec une legere douleur au passage,ca la fait existé.et lui toujours a sa negoce avec le plat,le mou.son rigide en main.pour faire passer les gaines de tuyau.le sien repond plus.il la deguisé en noyau de gland .ceux ramassé par les troupeaux de truie,les porc de l’impasse.il y est bien en impasse.sa palombier elle se fracasse le desir contre des bouts d’assiettes cassé,elle va bouché les.wc peut etre que la dans cet endroit si charmant lesortilege va prendre,bien prendre….